Prix Artinov 2008 et Rencontres du Ciné de Montagne
Publié le 7 Novembre 2008
Hier soir, Pierre recevait le prix Artinov 2008 (concours de l'innovation artisanale) dans la catégorie produit pour sa chaussure en carbone la XP 500.
Une occasion de se régaler, paraît-il au superbe buffet qui suivait. Pas de chance pour moi, je l'ai râté.. Direction le Summum pour une soirée de films consacrés à l'Himalaya.
Au menu, un film sur Henri Sigayret, un français ayant épousé Denzi une sherpani. Un chouette film pour un sacré bonhomme, haut en couleurs, qui porte un regard très réaliste sur les conditions de vie moyennageuses de ce pays et qui ne verse pas, c'est rare, dans l'admiration béate sur le bouddhsime.
Suivait un film sur Pierre Mazeaud, et la première française de l'Everest. De la même génération que Sigayret, alpiniste et homme d'état, sa vision sur le Népal et les réalisations alpines aujourd'hui m'est apparu complètement déplacée voire réactionnaire. A côté de la jeunesse d'esprit de Sigayret, il est apparu comme un vieux bonhomme plutôt aigri.
Heureusement, juste après suivait un film court sur une belle réalisation très engagée et très technique sur un haut sommet du Pakistan : 3000 m de paroi et 6 jours de bivouac. Alors monsieur Mazeaud, l'alpinisme est mort?
Une occasion de se régaler, paraît-il au superbe buffet qui suivait. Pas de chance pour moi, je l'ai râté.. Direction le Summum pour une soirée de films consacrés à l'Himalaya.
Au menu, un film sur Henri Sigayret, un français ayant épousé Denzi une sherpani. Un chouette film pour un sacré bonhomme, haut en couleurs, qui porte un regard très réaliste sur les conditions de vie moyennageuses de ce pays et qui ne verse pas, c'est rare, dans l'admiration béate sur le bouddhsime.
Suivait un film sur Pierre Mazeaud, et la première française de l'Everest. De la même génération que Sigayret, alpiniste et homme d'état, sa vision sur le Népal et les réalisations alpines aujourd'hui m'est apparu complètement déplacée voire réactionnaire. A côté de la jeunesse d'esprit de Sigayret, il est apparu comme un vieux bonhomme plutôt aigri.
Heureusement, juste après suivait un film court sur une belle réalisation très engagée et très technique sur un haut sommet du Pakistan : 3000 m de paroi et 6 jours de bivouac. Alors monsieur Mazeaud, l'alpinisme est mort?